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Laure Borgomano, invitée d’un colloque sur les manières de résister à la guerre, le 12 septembre au Grand-Saconnex, rappelle qu’une action reste toujours possible, même face à des conflits de moins en moins lisibles.

C’est le pasteur de l’Église protestante de Genève Alain Wyler, très impliqué dans la défense des réfugié·es, qui a eu l’idée, en 1980, de proposer à José Venturelli (1924-1988) de réaliser des vitraux pour le temple de la Madeleine.

Marie-Dominique Minassian coordonne depuis l’Université de Fribourg des recherches sur les écrits des sept religieux assassinés en 1996. Les compositions de Frère Célestin ont surpris les chercheurs.

Krishna, un être à la peau bleue, est une figure centrale de l’hindouisme. C’est un dieu né parmi les humains pour les aider à sauver le monde des démons.

Il n’y a pas de vie en société sans conflit, à moins de vouloir imposer sa manière de voir ou de faire. L’important n’est donc pas de les éliminer ou les prévenir, mais d’éviter la violence qui trop souvent les accompagne. Et lorsque celle-ci se manifeste, le pardon devient nécessaire.

Les textes bibliques portent leur part de tension. Ils peuvent être lus comme hymne de libération ou comme justification des pouvoirs, prévient le bibliste Thomas Römer.

Dans un documentaire diffusé ce mercredi sur RTS1 (à 22h40), la réalisatrice Marie Mandy interroge un tabou dans l’Église catholique romaine.

Formée en psychologie et en criminologie, Véronique Jaquier Erard conduit des recherches dans le domaine de la victimologie. Elle est professeure titulaire à la faculté de droit de l’Université de Neuchâtel et chargée de cours ou de recherche dans plusieurs institutions romandes.

Professeur de la chaire des milieux bibliques au Collège de France, Thomas Römer nourrit ses recherches sur l’Ancien Testament grâce à des fouilles archéologique dans le Levant. Il s’inquiète des appels au boycott académique des institutions israéliennes.

A proximité immédiate des 1000 kilomètres de front du conflit russo-ukrainien, des habitants n’ont pas pu ou voulu partir. Et certains reviennent. L’EPER soutient ces populations, un défi logistique et humain qui a coûté des vies à l’ONG.